jeudi 18 octobre 2007

Mes balades

Beaux paysages, soleil, sable...tout cela vous dit quelque chose ?
Je vous invite alors à me suivre pour vous faire découvrir mes balades préférées.





On va d'abord à Tipaza, une ville côtière située à 68 km à l'ouest d'Alger; à l’origine une fondation punique en Afrique du Nord.
Comme toutes les villes du bassin méditerranéen, Tipaza est devenue romaine - dans la province romaine de Maurétanie césarienne, puis chrétienne.






"La mer, le soleil, le sable chaud, les géraniums et... les bois d'eucalyptus ?
On touche le bonheur. Je ne pourrai jamais vivre en dehors... Jamais.
Je voyagerai car je veux

connaître le monde mais, j'en ai la conviction, ailleurs, je serai toujours en exil."
Camus





Vers le nord-est de l'Algérie et précisément dans la ville de Batna, Je vous emmene visiter une autre ville romaine.
Timgad, la majestueuse !
Trés longtemps ensevelie sous le sable, cette vieille ville romaine, classée patrimoine mondiale, nous offre un spectacle impressionnant, témoignant ainsi de l'ingéniosité des romains.








À dos de chameaux, allons-y pour le grand sud.

Un désert particulier et inexplicable !

Où tout est vide et fait de sable !
0ù règne une sérénité et plénitude qu’on ne trouve nulle part ailleurs !
C’est tout simplement magique !
Il suffit de le découvrir pour avoir envie d’y retourner à chaque fois !







"J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n'entend rien.
Et cependant quelque chose rayonne en silence."
Antoine de Saint-Exupéry (Le petit prince)

"L'homme qui, du désert connaît le secret, ne peut vieillir. La mort viendra, tournera autour de la dune
et repartira."
Tahar Ben Jelloun (Sahara)




































Actualités littéraires

Catégorie : Bande déssinée
Titre: Walou à l'horizon
Auteur: Slim
Editeur: Tartamudo - Institut du Monde Arabe
Bouzid retourne en Algérie après dix ans d'absence. C'est normal, il était en stage en RDA. Mais comme ce pays a disparu, le stage de notre héros populaire a pris fin. Bouzid retrouve ses amis, Zina, Amziam et son chat El Gatt ainsi que tout le petit peuple de Oued Besbes son douar bien aimé. Tout a changé au bled : le capitalisme est revenu au galop, les “barbus” veulent prendre le pouvoir aux “moustachus” et le peuple est abandonné à son triste sort. Bouzid va s'organiser vaille que vaille et essayer de faire quelque chose. Suivons-le dans son entreprise impossible.
“J'ai connu Slim il y a des siècles en Algérie lorsque les islamistes barbus faisaient plus rire que frémir. Les bandes dessinées de Slim, et son personnage Bouzid étaient connus dans tout le maghreb. Je donnais ce conseil à mes amis : “si vous voulez en même temps vous amuser, et vous instruire, lisez les aventures de Bouzid. Vous comprendrez tout ce qui se passe en Algérie”.
Aujourd'hui, Slim vit en France. Bouzid, lui, est resté en Algérie. Quand je demande de ses nouvelles à Slim, il hoche la tête, et on parle d'autre chose.”


Catégorie : Ouvrage de référence
Titre: Dictionnaire des artistes algériens 1917 - 2006
Auteur: Mansour Abrous
Editeur: L'Harmattan  
Ce Dictionnaire plaide pour restituer la présence d'artistes algériens, mille sept cent cinq biographies (1324 plasticiens, 118 spécialistes de l'art musulman, 151 designers et 112 photographes) et quatre-vingt-dix années de production artistique (1917-2006).


Catégorie : Essais - Témoignages
Titre: Ce ne sont que des hommes
Auteur: Leila Aslaoui
Editeur: Casbah
«Ce ne sont que des hommes», c’est d’abord une écriture polyphonique où les voix de Rafik, Houria, Mahmoud… se superposent, se répondent parfois pour dire leurs passions et sacrifices professionnels, mais aussi leurs déceptions, déboires et souffrances de «commis de l’Etat». C’est-à-dire des Hommes qui ne sont pas des «supermen» ou des héros mais seulement des hommes avec certes leur force de caractère, leur savoir, leurs compétences, mais aussi leurs faiblesses et leurs limites. Des Hommes qu’on appelle tantôt «cadres de la nation» tantôt «élite», «hauts fonctionnaires», «commis de l’Etat». Cet ouvrage est ensuite un témoignage. Celui de l’auteur qui, loin de tout récit autobiographique sans intérêt pour le lecteur, a entendu décrire la «condition» des cadres de la nation, malmenés, humiliés, marginalisés, emprisonnés, emportés par le «mal de l’Algérie qui ronge, oppresse, racle et tue celui qui en est atteint» depuis 1962. Pour avoir partagé les souffrances de certains d’entre eux, pour en avoir connu d’autres, l’auteur a voulu leur rendre hommage et dire comment le cadre algérien, «traqué», «pourchassé», poussé dans ses derniers retranchements, finit par tomber «parce qu’il n’est qu’un homme»…

Catégorie : Essai - Histoire
Titre : Algérie, histoire contemporaine 1830 - 1988.
Editeur : Casbah

Présentation : Spécialiste de la guerre d’Algérie, Benjamin Stora pose ici les véritables questions et apporte des réponses dénuées de rancœurs et de vains regrets». L’Histoire «Par un auteur qui fait autorité sur le sujet, un exposé historique sur le conflit qui devait déboucher sur l’indépendance, après de multiples péripéties politiques et militaires. Des tentatives de réponses sur les nombreux aspects d’une guerre sur laquelle beaucoup de questions se posent encore». Le Monde «... Les faits et les acteurs par un des meilleurs spécialistes de cette époque». Lire «Le livre de B. Stora est un ouvrage d’histoire à lire surtout parce qu’il fait réfléchir à l’avenir». Charles-Robert Ageron, Vingtième Siècle. «L’ouvrage, alerte et de lecture aisée, est une synthèse historique et non une réflexion politique. Au total, il reflète une approche très personnelle, celle d’un historien engagé, très original en ce qu’il s’efforce d’être à l’écoute des diverses communautés de l’Algérie coloniale. Il ne montre pas seulement «l’Algérie heureuse», «l’Algérie de papa» (…), il dit aussi avec précision son inconscience politique face à la montée du nationalisme algérien». Charles-Robert Ageron Revue française d’histoire d’Outre-mer.

Source: www.casbaheditions.net

Catégorie : Essai
Titre : Le chaâbi, discours, rituels et pratiques
Anteur : Fatiha Kara-Chentir
Editeur : APIC
L’auteure, chercheur au Centre d’études préhistoriques, anthropologiques et historiques, enseigne également dans la section musique de l’Ecole normale supérieure. De son enquête de terrain, auprès de mélomanes et praticiens du chaâbi, elle a ramené des propos d’une richesse extraordinaire qui dessinent de manière vivante l’histoire et l’évolution de cette musique et, plus que cela, l’univers qui l’entoure avec ses rites et ses mythes. Dans la tradition du sociologue américain Oscar Lewis qui décortiqua la société mexicaine en faisant parler les membres d’une famille, Fatiha Kara-Chentir laisse ses enquêtés s’exprimer librement, conservant fidèlement leurs propos en arabe dialectal algérois et n’intervenant que de manière mesurée. Cette méthode, qui se veut un respect méthodologique de la matière brute collectée, permet du même coup une lecture agréable et souvent surprenante.

Source: El Watan, 15 novembre 2007

Ma musique préférée

Des morceaux Gnawi que j'apprécie particulièrement. Une musique qui renvoie au dialogue et à l’échange, car elle évoque les conseils des sages qui, assis autour d’un thé, débattaient longuement avant d’entreprendre quelque chose d’important!
Progressivement à travers l'histoire, des esclaves du Soudan occidental, des Juifs du Tafilelt (ville du sud-est du maroc), plus tard des Marocains et des habitants du Tel du Gourara et du Touat et enfin des Européens ont su entretenir cette fusion de culture millénaire.

Guembri, djembé, derbouka, violon, oud, bendir et banjo ressuscitent cette musique ancestrale de plus en plus appréciée par les jeunes. iuazieu

Extrait de www.youtube.com

mercredi 17 octobre 2007

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Alger, c'est ça aussi ;-)

Un chef d'oeuvre architectural !
Sans doute d'une inspiration Le Corbusier ou Oscar Niemeyer passés déjà par Alger !












Le saviez-vous ?
Il n'y a pas que Rome, tous les chemins mènent à Alger ainsi qu'à Larbaa !













En voila un qui veut se connecter sur tous les satellites du monde au dépend de la lumière du jour !

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